Il vise à appliquer, dans le cas où deux dossiers équivalents se trouveraient en concurrence pour une même attribution, la préférence communale, sans naturellement revenir sur l’interdiction de la préférence communale prévue dans le projet de loi.
Cela permettrait aux communes et aux maires de pouvoir continuer à travailler, notamment avec les centres communaux d’action sociale – les CCAS –, auprès de ces demandeurs, sans rupture dans l’action ni désespérance.
Cet amendement me paraît sage : son adoption permettrait d’assurer une continuité dans l’aide aux plus fragiles.