J’avoue, monsieur Molac, que j’ai du mal à vous suivre. Votre amendement en faveur de l’usage des langues régionales me semble satisfait par le droit positif. Ces dernières années, vous le savez, nous avons voté plusieurs mesures destinées à les promouvoir, ce qui constitue un progrès. Vous êtes d’ailleurs à l’origine de plusieurs de ces mesures. Je comprends que vous soyez impatient de les voir produire leurs effets, mais il suffit d’attendre. Quoi qu’il est en soit, je ne vois pas quel bénéfice supplémentaire apporterait une modification de la loi de 1994.
Je vous suggère par conséquent de retirer l’amendement.