Madame la secrétaire d’État, madame la rapporteure, je vous remercie de votre position. Je me reconnais parfaitement dans les propos de Pierre Lellouche et François Pupponi. Je trouve surréaliste, dans le contexte actuel, que l’on discute d’un cavalier législatif d’une immense hypocrisie qui vise directement l’État d’Israël. Je partage les propos du Premier ministre : souvent, la lutte contre l’État d’Israël est la manière déguisée de l’antisémitisme. Je suis donc désolé, en 2016, dans le contexte que connaissent le monde et notre pays, d’entendre un parlementaire, en votre personne, M. Bachelay, défendre de tels amendements.