Comme l’a dit Marie-Anne Chapdelaine, cet amendement n’a en effet pas été étudié en commission. Je veux rappeler la façon dont nous avons travaillé et comment le Gouvernement, en conséquence, a déposé cet amendement. Celui-ci fait sens, et, au-delà de l’acte de reconnaissance, le Gouvernement tient ainsi parole.
Victorin Lurel a ouvert une brèche et nous lui devons beaucoup, au nom de ceux qui mènent ce combat depuis des années, pour ne pas dire des dizaines d’années. Il l’a fait à un moment où tout le monde nous disait qu’il était impossible d’atteindre un tel objectif. Comme quoi il y a une fraternité, à travers l’ensemble de ces crimes…