Bien sûr ! Mais, pour ma part en tout cas, je suis parfaitement décomplexé par rapport à cela : je ne suis pas arc-bouté sur la défense rabougrie d’une identité passée, imaginée, unique, fantasmée, qui n’existe pas, car l’identité de la France est plurielle. Je n’ai pas voulu vous répondre tout à l’heure car j’avais bien décelé la provocation mais il était toutefois important de remettre les points sur les i, en particulier sur le i de identité.