Il s’agit de demander au Gouvernement non pas de produire un nouveau rapport mais de faire figurer, dans celui remis chaque année par la Commission nationale consultative des droits de l’homme – la CNCDH –, un volet, un chapitre consacré aux injures racistes prononcées contre les personnes d’ascendance africaine.
Le dernier rapport, remis récemment, fait état d’actes antisémites, anti-roms, islamophobes, voire christianophobes, si je puis employer l’expression ici, mais sans rien dire des actes disons « anti-noirs ».