Merci, madame la secrétaire d’État, pour votre réponse. Nous avions bien conscience qu’il s’agissait d’un amendement d’appel pour vous interpeller sur cet angle mort de l’historiographie française, très peu connu en métropole. Soulever la question suscite parfois de la méfiance, comme si nous sombrions dans je ne sais quel communautarisme. Il ne s’agit pas de cela mais de l’histoire de la nation.