En Afrique, en Océanie, en Caraïbe, des millions de personnes attendent que la patrie des droits de l’homme montre la voie, après avoir pris quelque retard. J’avoue que nous n’avons pas vocation à faire concurrence au Gouvernement ou au Président de la République. C’est vrai, une fondation a bien été proposée, une étude est en cours, les historiens, les enseignants sont concernés, la Conférence des présidents d’université est saisie et j’apprends à présent qu’un débat devrait être organisé. Au bénéfice de ces engagements, nous retirons cet amendement.