C’est encore ce qui s’est passé avec le premier décret d’avances de l’année 2016 : nous avons dû nous battre, avec la rapporteure générale et mes collègues unanimes de la commission des finances, car il aurait été insupportable d’annuler des crédits aussi importants, pour 130 millions d’euros, destinés au Commissariat à l’énergie atomique et aux énergies alternatives, au Centre national de la recherche scientifique ou encore à l’Institut national de la recherche agronomique.
Un chiffre est frappant : c’est l’investissement dans le budget de l’État, maintenant réduit à 10 milliards d’euros.