…notamment, madame Dalloz, en raison de la progression continue de la dépense publique à un rythme moyen annuel de plus de 3,6 %, dont nous traînons la charge des intérêts, ssujet d’intérêt pour le président de la commission des finances. Mais enfin, si la dette n’avait pas doublé, on ne traînerait pas un boulet de plus de 42 milliards d’euros de charge d’intérêts annuels !
La Cour a donc raison de rappeler à chacune et à chacun ces réalités dont il faut tenir compte, sauf à envoyer le pays dans le mur, passez-moi l’expression. Je dis cela pour celles et ceux qui, depuis le début de cette législature, plaident en faveur d’un accroissement des déficits, donc de la dette, au motif de soutenir le retour à la croissance,…