Et, pour que le compte soit bon, on nous colle une petite louche supplémentaire de recettes du STDR, c’est tellement facile.
Même si, pour moi, c’est une conviction, je vous pose la question, monsieur le secrétaire d’État : les calculs comptables, pour ne pas dire politiciens, ne l’ont-ils pas emporté sur l’intérêt général ? Pouvez-vous d’ailleurs nous indiquer quel est le montant de la charge que vous repousserez à 2018 et aux années suivantes ?