Il est défendu, madame la présidente.
Je ne comprends pas très bien cette volonté de ne pas ouvrir les yeux : nous savons tous que les enfants sont parfois pris en otage, ballottés entre les deux parents, sont l’objet de convoitise, sont tiraillés.
Notre proposition permettrait de sécuriser, de mettre un peu plus de sérénité dans une séparation toujours douloureuse, quand bien même elle serait le fait d’un consentement mutuel. Cette façon de persévérer est assez curieuse et je souscris évidemment à ce qu’ont dit mes collègues. Pour le reste, l’amendement est défendu.