Je suis un peu étonné, parce que j’avais cru entendre une prise de position publique de la chancellerie sur cette question.
Monsieur le garde des sceaux, peut-être l’infirmerez-vous, mais vous considériez que la réparation des préjudices moraux relevait de l’action individuelle. Est-ce à dire qu’elle franchirait cette limite ?