La fraternité, c’est s’opposer à la haine et au repli sur soi. Mais n’oublions jamais l’esprit inculqué par l’entraîneur, qui a su donner une ambition collective à cette équipe, avec pour valeur l’humilité et la solidarité. « Un pour tous, tous pour un », écrivait Alexandre Dumas : quel bel exemple ! Oui, quand nous sommes rassemblés, la France est dans le peloton de tête.
Ma question s’adresse à vous, monsieur le Premier ministre, mais aussi à chacun d’entre nous. Nous savons nous rassembler dans les moments tragiques ou festifs. Comment faire pour que l’unité nationale anime notre pays en permanence ? Comment agir pour que cet enthousiasme autour des symboles de la patrie et de la République perdure et qu’ensemble nous puissions continuer d’être fiers de notre pays et avoir souvent l’occasion de dire « vive la France, vive la République » ?