Les amendements de Isabelle Le Callennec pour ce dossier
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Madame la présidente, monsieur le ministre, monsieur le rapporteur, chers collègues, au milieu des années cinquante, l’agriculture, l’industrie et les services occupaient un nombre égal d’actifs en France, autour de 5 millions chacun. On compte aujourd’hui moins de 500 000 exploitations agricoles et près d’un million d’actifs. Le paysage a bie...
Et pourtant, c’est bien l’agriculture qui nourrit le monde. Elle doit par conséquent faire l’objet de toute notre attention. Dans ce contexte, quel est le rôle du législateur ? D’abord de tenir un langage de vérité. Il y a consensus entre nous, me semble-t-il, sur l’exigence d’un développement agricole durable, qui soit à la fois économique, s...
Ils apprécieront. À ce propos, monsieur le ministre, pourriez-vous m’expliquer pourquoi la pêche ne fait plus partie du portefeuille du ministre de l’agriculture ?
Quelles sont-elles les attentes de nos agriculteurs ? Ce sont celles de tous les chefs d’entreprise de France : un soutien à la compétitivité des exploitations, qui passe par la baisse des coûts de production, des impôts et autres taxes,et aussi par un volontarisme beaucoup plus affirmé pour convaincre nos partenaires européens de la nécessité ...
Leurs terres sont leur outil de travail, leur patrimoine. Ils n’ont pas attendu l’apparition du concept d’agro-écologie dans le langage courant et dans le pacte pour la Bretagne pour faire évoluer leurs pratiques et innover, quand ils n’en sont pas empêchés par l’administration. Je pense aux agriculteurs qui voudraient se lancer dans la méthani...
Parmi les demandes récurrentes des agriculteurs, il y a aussi le soutien à l’installation et à la transmission, la préservation du foncier agricole, l’organisation des producteurs et des marchés et enfin, priorité des priorités, la simplification administrative. Monsieur le ministre, si je puis me permettre, faites preuve de davantage d’autori...
Tous ces jeunes passionnés qui ont fait le choix de l’agriculture représentent l’avenir. J’en rencontre énormément dans ma circonscription, l’Ille-et-Vilaine étant comme chacun sait un département d’élevage et d’excellence où le nombre d’installations continue d’augmenter chaque année. Tous ces jeunes ne sont d’ailleurs pas tous issus du monde ...
Ils veulent juste, comme n’importe quel jeune, exercer leur métier dans les meilleures conditions possibles. Nous n’avons pas le droit de les décevoir. C’est pourtant le risque de cette loi, qui n’a pas attendu d’être votée pour être déjà critiquée de toutes parts.