Les amendements de Jean-Jacques Candelier pour ce dossier
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Monsieur le président, monsieur le Premier ministre, monsieur le ministre de la défense, madame la présidente de la commission de la défense, mes chers collègues, pour la première fois siégeaient au sein de la commission de rédaction du Livre blanc un Allemand et un Britannique. Par contre, nous attendons toujours l'ouverture de cette commissio...
Évitez-moi les commentaires ! Cette fois, les partis politiques n'ont même pas été auditionnés : une première depuis 1972 ! Aujourd'hui, nous disposons de cinq minutes pour nous exprimer a posteriori sur les choix qui ont été arrêtés. Drôle de démocratie ! Ce Livre blanc mériterait un débat approfondi, car il est peu lisible
et sa stratégie même est difficile à comprendre. On devine, mais ce n'est pas explicite, ce que peut vouloir dire une « stratégie défensive excluant une attaque préventive basée sur l'anticipation des crises, sur une capacité de réaction sur toutes les zones d'intérêt de la France et de nos partenaires, liés par accords de défense ». Nos remar...
Nous rejetons toute cession de participations dans les industries de défense : il faut faire le contraire, sous l'égide de la DGA, en nationalisant toutes les industries de défense. Le Gouvernement compte-t-il au moins donner suite aux recommandations de la Cour des comptes, selon lesquelles l'APE et la DGA devraient piloter conjointement les p...
Il s'agit d'une véritable bombe à retardement, nos armées étant arrivées à un plancher en ce qui concerne les moyens de fonctionnement. En outre, elles devront faire face, avec moins, aux nouvelles missions, telle la sécurité du territoire en outre-mer, qui leur sont dorénavant assignées. Nous redoutons par ailleurs que les mesures d'externali...
Monsieur le ministre, dans la mesure où le nucléaire confère à la France une place de choix au Conseil de sécurité de l'ONU, il peut avoir un intérêt, mais ce serait justifier un ordre international injuste, fondé sur la loi du plus fort. Et pour ce qui est de garantir notre sécurité, la chose est beaucoup plus contestable. La réalité des nouve...
Monsieur le ministre, la droite peut toujours pousser des cris d'orfraie sur la baisse du contrat opérationnel des armées, nous constatons que nous n'avons jamais dépassé 7 000 hommes sur la totalité des engagements opérationnels depuis 1998. Le problème n'est pas dans le nombre d'hommes, mais dans la capacité d'action. Mieux vaut 7 000 hommes ...