Les amendements de Jean Lassalle pour ce dossier
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Monsieur le président, mesdames les ministres, monsieur le ministre, mes chers collègues, il est des moments dans la vie où l'on ferait certainement mieux de se taire. (Sourires.)
C'est ce que j'aurais peut-être dû faire tout à l'heure mais je vous remercie, monsieur le président, de me donner l'occasion de parler. Non-inscrit, je vivais ces jours derniers en m'interrogeant sur le point de savoir s'il ne fallait pas que j'essaie quand même de parler. Au fond, je me demandais si le choix que j'avais fait en pleine connais...
Je n'accouche pas tout de suite, il faut que je fasse ma grossesse avant ! (Rires sur plusieurs bancs.) Je suis à la fois déchiré par le choix que je vais devoir faire, comme mes collègues, dans quelques jours, et empreint d'enthousiasme. Je suis déchiré parce que, forcément, c'est un changement très profond, comme nous en avons connu trois o...
Oui, je vais conclure. Tout d'abord, ce dont nous parlons constitue un engagement du Président de la République, pris lors de sa campagne électorale. Ensuite, nous aurions eu la possibilité parce que nous avons bien senti croître l'émotion dans le pays de nous en sortir par le référendum. Mais je ne pense pas que nous prenions cette voie.
Maintenant que le changement est en train de se faire, je pose personnellement deux questions : d'abord, celle du rôle futur de la femme. J'espère qu'au pays des droits de l'homme, nous saurons trouver une solution car, pour l'instant, cette question n'est ni posée, ni inscrite
Je suis tout seul ! Le rôle de la femme me paraît donc être une très grande question. Quant à l'adoption, dont je me suis occupé plus de dix ans dans mon département, j'ai constaté qu'elle suscitait beaucoup plus d'engouement il y a quelques années, parce qu'aujourd'hui chacun veut savoir à tout prix d'où il vient.
Je finis ! Je veux par conséquent vous dire que je vais continuer à vivre ce débat de toutes mes forces, après vous avoir remercié de m'avoir donné la parole. Je prendrai ma décision comme tous mes concitoyens le moment venu, parce que je veux vivre ce débat jusqu'au bout comme un député citoyen, qui jusqu'au dernier moment aura réfléchi. (App...
Effectivement, je fais relâche, monsieur le président. En fait, je voulais simplement profiter de la relative accalmie que connaissent nos débats, qui vous permet d'être un peu moins accaparé je ne dirai pas moins stressé, car je ne vous ai jamais vu stressé , pour vous poser cette simple question : quand vais-je enfin pouvoir intervenir ? (...
C'est très gentil de votre part, monsieur le président, mais j'aurai besoin de préparer mon intervention. Ne le prenez pas mal, mais je préfère intervenir un peu plus tard, pour ne pas déranger. (Rires et applaudissements sur tous les bancs.)