Les amendements de Karine Berger pour ce dossier
29 interventions trouvées.
voilà autant de mesures qui illustrent à quel point la société et le pouvoir politique ont un rôle à jouer dans le potentiel productif de notre pays. Ces trois facettes de la politique de l'offre que nous trouvons dans le collectif budgétaire nous démontrent qu'en matière de croissance, seul le pragmatisme compte. D'ailleurs, le vrai père de ...
ils appuieront l'intégralité de cette politique en faveur de la croissance potentielle. (Applaudissements sur les bancs du groupe SRC.)
Monsieur le président, monsieur le ministre, mes chers collègues, en écoutant les diverses interventions de l'opposition ce soir, je me demande si nous avons assisté aux mêmes débats ces deux dernières semaines. Nos collègues de droite s'opposent comme hier ils gouvernaient : en excitant les peurs et avec outrance. (Exclamations sur les bancs ...
Les propos du président de la commission des finances m'ont étonnée. M. Carrez a prononcé exactement le même discours que lors de la première séance d'examen du PLFR,
faisant fi des débats que nous avons eus depuis. À quoi donc a servi cette longue période d'échanges, puisque vous ne souhaitez entendre aucun argument et que vous refusez de construire, avec nous, les solutions pour ce pays ?
M. Carrez a évoqué ce soir, comme au premier jour, l'article 1er du projet de loi. Il s'acharne à croire qu'une baisse des cotisations patronales, renforcée par la hausse de la TVA, pourrait avoir un effet positif sur le pouvoir d'achat des ménages. Mais la hausse de la TVA n'aura pas lieu : cela contribuera à sauvegarder 400 euros dans le pou...
Il semblerait que M. Vigier considère l'emploi comme secondaire. Mme Dalloz, quant à elle, a évoqué, comme au premier jour, le taux de prélèvements obligatoires et, surtout, le taux de dépenses de notre pays. Je lui rappelle que c'est sous le quinquennat précédent que les dépenses publiques ont augmenté de trois points de PIB. Enfin, que dire...
cessez de prendre vos rêves pour la réalité. L'été 2012 n'a rien à voir avec l'été 2007. Il est vrai qu'alors, entre une escapade sur un yacht de milliardaire au large de Malte et des vacances dans un club de riches aux États-Unis, le président de l'époque brûlait ce qu'il restait des marges de manoeuvre budgétaire. (Protestations sur les banc...
L'été 2012 demeurera, dans l'esprit de nos concitoyens, un été normal, marquant les débuts d'une politique de reconstruction progressive de la croissance et de redressement des finances publiques. Notre majorité a commencé d'en finir avec une anormalité économique et sociale, qui consista, pendant cinq ans, à faire des choix fiscaux défavorabl...