Les amendements de Michel Françaix pour ce dossier
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Cet amendement a été rejeté par la commission. Nous ne voulions pas qu’un représentant des consommateurs soit présent au conseil supérieur de l’AFP ; nous ne voulions pas non plus qu’il y ait un représentant du CSA, car nous pensons que ces deux institutions ne doivent pas être liées ainsi. Il me semble cependant que pour le conseil national d...
…je suis décidé à donner, à titre personnel, un avis favorable – je ne sais pas si mes collègues me suivront. Je considère en effet que la présence d’un représentant du conseil national du numérique serait plutôt une bonne chose. Je répète que je suis défavorable à toutes les autres suggestions que j’ai mentionnées : il ne faut pas que des repr...
Nous voulons tous la même chose, mais la méthode n’est peut-être pas la bonne. Il serait bon de réfléchir à cette question, d’y travailler à nouveau, pour que la demande de M. Pompili puisse être satisfaite, mais par un autre biais. Cette proposition ne paraît pas, en effet, être la plus intelligente…
Pardonnez-moi : c’est moi qui ai commis une bêtise en me prononçant en faveur de votre amendement. Ce n’est pas votre intention qui pose problème, mais la formulation concrète de cet amendement. Puisque vous avez l’assurance que nous reviendrons sur cette question en deuxième lecture, je vous suggère de retirer cet amendement. Ce serait là une ...
En dernier ressort, le conseil supérieur, qui compte deux parlementaires, aura à choisir ces cinq personnalités. Il est donc évident que, parmi les personnalités recherchées, certaines représenteront l’international, d’autres devront réfléchir à ce que sera la presse dans dix ans, et il y aura toujours une place pour le numérique. Ce n’est pas ...
Il faut garder à l’esprit que, parmi les cinq représentants, certains viendront d’autres horizons que la presse régionale ou nationale. La présence d’un député et d’un sénateur devrait garantir cette ouverture. Avis défavorable.
Mme la ministre a très clairement expliqué les choses, mais nous devons tous être d’accord. Il n’existe pas aujourd’hui de presse seulement numérique. Je tiens à vous dire qu’aux États-Unis, à chaque fois qu’un journal a abandonné le papier pour le numérique, il est mort dans les deux mois, car la marque vit par l’édition papier. En revanche, ...