Les amendements de Philippe Vigier pour ce dossier
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Monsieur le ministre, avec ce sous-amendement, que nous soutenons, nous essayons de vous rendre service. En ce moment même a lieu une grande conférence sociale. Le Président de la République nous explique combien le paritarisme, combien le dialogue social sont importants. Alors prenons un exemple simple, celui des conseils de prud’hommes : dan...
C’est exactement la même chose ! Nous, nous avons la volonté que la démocratie passe à un moment ou à un autre par des élections, par le choix de ses représentants par la profession elle-même.
Non, je parle de vraies élections, monsieur Brottes, pas d’une élection détournée, avec des représentants nommés sur des listes venant des chambres d’agriculture. Nous souhaitons, comme le propose le sous-amendement Le Fur, conserver ce dispositif qui a très bien marché. Un jour de conférence sociale, quel mauvais signal on donne pour le parit...
Un petit mot pour aller dans le sens de ce que vient de dire notre collègue Julien Aubert. Par cet amendement, monsieur le rapporteur, on essaye de générer une nouvelle attractivité pour les métiers d’agriculteur, avec une qualification à la clef. Je vous donne un exemple très concret que j’ai connu dans ma circonscription : un jeune agriculteu...
Monsieur le ministre, je vous ai bien entendu sur le fait que l’on peut progresser au cours de sa vie, se former, évoluer, et qu’il n’est pas nécessaire d’avoir un bac + 10 pour démarrer toute carrière, et je suis assez admiratif devant ceux qui se forment au fil du temps. Mais je voudrais que vous me disiez si les qualifications certiphyto peu...
L’autorisation est donnée pour cinq ans. Or, dans un tel délai, les assolements peuvent être modifiés en faveur de cultures nécessitant un plus grand nombre d’intérimaires. Les besoins, en ce domaine, peuvent varier de un à cinq : la culture de pommes de terre ou d’oignons, par exemple, n’exige pas le même nombre de saisonniers qu’une culture a...
J’aimerais comprendre, monsieur le ministre, j’aimerais que vous nous expliquiez. Vous nous dites que l’emploi, c’est important, et qu’on essaie de faire une globalisation, de savoir combien il y a d’emplois dans l’agriculture, que ce soient des salariés permanents ou des salariés occasionnels. En quoi la rédaction de ces amendements identiques...
Monsieur le ministre, j’ai entendu votre propos. Vous disiez qu’on peut faire confiance à notre administration, qui aurait une capacité d’interprétation. Dont acte, mais enfin,…
…je pense que, sur tous ces bancs, nous pourrions témoigner que cette capacité d’interprétation n’est pas toujours totalement au rendez-vous. Vous disiez tout à l’heure qu’il fallait réguler l’accès au foncier. Très bien. Il faut que les entreprises agricoles aient un certain nombre d’emplois. Il est essentiel qu’elles comprennent que, en écha...
Est-ce que, oui ou non, il y a un nombre d’emplois obligatoires pour ces entreprises de logistique, qui prennent des dizaines d’hectares dans les zones d’activités, souvent pour quelques emplois, assez peu nombreux ? De la même façon, pour le CICE, je note que vous n’avez pas pu imposer ce que vous aviez annoncé :…
…nous aurions dû avoir un texte de loi qui aurait prévu les fameuses contraintes sociales, mais elles ne sont pas au rendez-vous.
Pourquoi imposer à l’agriculture ces contraintes supplémentaires, alors que c’est un domaine qui a perdu un nombre considérable d’emplois depuis des années ? Je ne comprends pas ce nouvel obstacle.