Les amendements de Xavier Bertrand pour ce dossier

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Monsieur le président, monsieur le ministre, monsieur le président de la commission des finances, monsieur le rapporteur général, mes chers collègues, si l'on regarde la situation économique internationale, il y a peu de raisons d'être sincèrement optimiste. Tous les moteurs de l'économie mondiale sont en train de ralentir, et ce ne sont pas le...

Regardons bien les choses. En définitive, toute la stratégie du Gouvernement consiste à espérer que des contingences extérieures à la France le tireront d'affaire. Or, ce qu'il faut faire quand on est aux responsabilités, ce n'est pas de se tourner vers le passé, comme c'est votre habitude bien commode ! Quand on voit le contexte internation...

Deux tiers, un tiers, alors même qu'il était possible de faire moitié-moitié dès cette année, et d'aller plus loin sur la réduction des dépenses dès l'an prochain. Nous aurons l'occasion, dans ce débat, de montrer la différence qu'il y a entre vous et nous, de montrer la différence qu'il y a entre ceux qui déposent des amendements pour réduire ...

alors que vous nous dites en fait, si l'on examine cela avec un peu d'attention : « Les dépenses auraient dû progresser de dix milliards d'euros et, comme elles n'ont pas progressé, il y a une baisse de dix milliards d'euros ».

Je pensais que vous saviez compter, monsieur le ministre, ou, du moins, que vous ne preniez pas les parlementaires pour ce qu'ils ne sont pas en leur faisant prendre des vessies pour des lanternes. La réalité, c'est que, si vous aviez réellement baissé de dix milliards d'euros la dépense publique cette année, oui, vous auriez été au rendez-vous...

Je proposerai qu'il y ait un troisième jour de carence en 2014, ce qui ne fera que mettre le public au même niveau que le privé. J'aimerais vous retrouver à ce rendez-vous de l'équité et de la justice, puisque vous n'avez que ce mot à la bouche. La réduction de la dépense publique, c'est la première des choses. La deuxième, c'est la compétiti...

Monsieur le ministre, ce ne sont pas les hommes et les femmes politiques qui créent des emplois, ce sont les entrepreneurs. Or votre budget n'est pas seulement anti-économique, il est aussi anti-entreprises et anti-entrepreneurs. Les démêlés que vous avez eus avec le mouvement des « pigeons » s'expliquent par le fait que vous n'avez pas de rela...

Voilà ce qui vous a manqué ! Dans ce débat, nous aurons l'occasion de montrer que les « neuf Français sur dix qui ne paieront pas plus d'impôts », c'est une fable. Ne savez-vous plus compter, monsieur Cahuzac ? Il est pourtant facile de faire les additions, comme Gilles Carrez l'a fait. En tout cas, la France a besoin de reprendre en main son...