Surtout ceux d'en face !
Mais tout le contexte !
Non, il épargne plus !
Amnésique ! C'est de l'Alzheimer précoce !
Mieux vaut entendre ça qu'être sourd !
Si vous n'étiez pas d'accord avec les 35 heures, pourquoi ne les avez-vous pas supprimées ?
Ah ! C'est une bonne expression !
On a vu ce que cela a donné !
On l'a bien vu avec vous !
Pour conclure, je me félicite de la volonté du Gouvernement de soutenir nos PME…
Oui, mais je suis bien en deçà du temps dont ont disposé Mme Kosciusko-Morizet et Mme Pécresse !
Vous avez une montre à géométrie variable, madame la présidente !
Évidemment, il a entre-temps oublié cette proposition.L'article 6 du projet de loi est un article de justice. Il soulève un vrai problème, qui ne sera d'ailleurs sans doute pas réglé par cette discussion budgétaire : celui de l'économie du futur, des nouvelles entreprises innovantes dans les secteurs du numérique, des biotechnologies ou encore des nanotechnologies. Ces entreprises fonctionnent sur des modèles qui n'ont rien à voir avec ceux de l'industrie traditionnelle. Ce sont des industries à haut risque, dont la durée de vie est extrêmement incertaine et qui ne trouvent pour leur développement que des moyens privés, d'ailleurs trop rares en France.Il est ...
Je me félicite, enfin, que le Gouvernement concilie ainsi justice sociale et efficacité économique. (Applaudissements sur les bancs du groupe SRC.)
Bonne idée ! Que ne l'avez-vous fait plus tôt ?
Bonne idée ! Nous la notons !
À la suite de M. Muet, je veux rappeler que cette disposition est comparable à ce qui existe dans différents pays auxquels il est souvent fait référence sur ces bancs.Au Royaume-Uni, le taux marginal doit être d'environ 50 % pour les revenus de l'ordre de 170 000 euros par an ; aux États-Unis, la situation est plus complexe à cause du système fédéral…
À une heureuse exception près : celle de M. de Courson !
Je voudrais juste être sûr d'avoir bien compris les conséquences de l'amendement du Gouvernement : les bons de souscription de parts de créateurs d'entreprises auront désormais un régime fiscal plus favorable que les actions gratuites.