Les amendements de Bruno Le Maire pour ce dossier
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Cela prouve, monsieur le Premier ministre, qu’il n’était pas nécessaire d’affaiblir depuis le premier jour la voix de la France en nous alignant systématiquement sur la position du président des États-Unis d’Amérique,
qui ne sait pas lui-même ce qu’il veut pour la Syrie. Monsieur le Premier ministre, nous regrettons que, pour la première fois de notre histoire récente, l’emploi des forces armées françaises soit suspendu à une éventuelle décision du Congrès américain : c’est une perte de souveraineté pour la France. (Mêmes mouvements.) C’est également la pr...
Il existe une voie politique, dans le cadre du Conseil de sécurité des Nations unies, avec le soutien de tous nos partenaires européens, pour apporter une réponse forte aux agissements et aux crimes inacceptables de Bachar el-Assad contre le peuple syrien.
Monsieur le Premier ministre, depuis le premier jour de cette crise des armes chimiques en Syrie, le Président de la République n’a pas jugé bon de s’expliquer devant les Français.
Face au risque d’embrasement régional, face à la menace que fait peser l’islamisme radical dans cette région, face aux risques qui pèsent sur nos compatriotes dans la région, en particulier sur nos forces armées basées au Liban, nous demandons au Président de la République d’expliquer enfin quelle est sa stratégie politique pour la Syrie.
Monsieur le Premier ministre, on ne vous écoute plus. On ne vous écoute plus parce qu'on ne vous croit plus. Et on ne vous croit plus parce que vous-même et M. le Président de la République, François Hollande, n'avez cessé de tromper les Français depuis un an. (Applaudissements sur les bancs du groupe UMP Exclamations sur plusieurs bancs du g...
Vous aviez promis l'exemplarité ; nous avons le mensonge et la dissimulation de votre ancien ministre du budget. (Exclamations sur les bancs du groupe SRC.) Vous aviez promis l'impartialité ; nous avons un Président de la République qui, contrairement à ses engagements, reçoit les députés de la majorité par fournées entières à l'Élysée (Applau...
Monsieur le Premier ministre, le 3 juillet 2012, vous disiez dans cet hémicycle : « Notre pays s'est affaibli économiquement, il s'est dégradé socialement, il s'est divisé politiquement, il s'est abîmé moralement. »
On ne saurait faire une meilleure description de l'état dans lequel vous avez plongé la France, depuis un an. Alors, quand allez-vous enfin offrir un espoir à la France ? Quand allez-vous en finir avec les divisions de votre majorité ? Quand allez-vous enfin fixer un cap pour la nation française ? (Applaudissements sur les bancs du groupe UMP.)
Monsieur le président, chers collègues, ma question s'adresse à M. le Premier ministre. Avant d'en venir à ma question, monsieur le Premier ministre, permettez-moi de vous dire que chaque semaine qui passe, chaque jour qui passe, vous êtes moins crédible lorsque vous reportez sur l'actuelle opposition la responsabilité de vos échecs. (Applaudi...
Trois jours après, on nous annonce que l'autorisation sanitaire est rétablie : une poule n'y retrouverait pas ses petits ! Mettez de l'ordre dans votre gouvernement, et rassurez les Français ! (Applaudissements sur les bancs du groupe UMP.)
Madame la ministre du logement, vous avez cru bon de vous en prendre à l'Église catholique pour réclamer la réquisition des logements disponibles. (Exclamations sur les bancs des groupes SRC, écologiste et RRDP. Applaudissements sur les bancs des groupes UMP et UDI.) Vous auriez pu vous en prendre aux banques, qui sont de grands propriétaire...
Ma question s'adresse à M. le Premier ministre. Monsieur le Premier ministre, vous menez la France droit dans le mur (« Applaudissements sur les bancs du groupe UMP), calmement, paisiblement, mais certainement. Vous menez la France droit dans le mur parce que vous accablez tous les ménages français, sans exception, de nouveaux impôts. Ce ne so...
Monsieur le Premier ministre, cela fait soixante jours que vous et votre majorité exercez le pouvoir dans ce pays, soixante jours durant lesquels vous avez déployé une énergie considérable à défaire une à une, méthodiquement, toutes les mesures courageuses qui avaient été prises par Nicolas Sarkozy, François Fillon et leur majorité pour faire f...
Vous habillez cela sous le couvert de la justice. Mais la justice ne se décrète pas, monsieur le Premier ministre, la justice, ce sont les Français qui en sont les seuls juges. (Exclamations sur plusieurs bancs du groupe SRC.) Et les Français ne trouvent pas juste de devoir désormais payer des impôts sur leurs heures supplémentaires. Les Franç...
Les Français ne trouvent pas juste que vous ayez supprimé la TVA anti-délocalisation, qui ne pesait que sur les importations, pour la remplacer par une augmentation de la CSG, qui pèsera sur tous les ménages français. (Applaudissements sur les bancs des groupes UMP et UDI.) Les Français ne trouvent pas juste, monsieur le Premier ministre, que ...