Les amendements de Dominique Dord pour ce dossier

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Le quatrième jour, il s'est fait plaisir. Il a levé 7 milliards de dépenses, en créant, par exemple, 60 000 postes dans l'éducation.

Il a dit : « Je refuse de céder au diktat des 3 % ! Nous serons à 3,6 % ! » On apprend aujourd'hui qu'il est à 3,9 %. Il a dit : « Vive les déficits et vive les marchés financiers ! »

Le cinquième jour, il a récompensé Mme Royal : il a fait d'elle une banquière, parce qu'elle le vaut bien ! Et il a dit : « Au diable la République irréprochable ! »

Le sixième jour, il a envoyé la police contre les familles qui tentaient de s'accrocher au peu de repères qu'elles avaient encore. Et il a dit : « Au diable les familles, les religions, les conservateurs et les rétrogrades ! Vive le progrès ! Vive les LGBT les lesbiennes, gays, bi et trans ! »

Enfin, le dernier jour, comme le veut la tradition, il s'est reposé. Il est monté sur le mont Corrèze avec Valérie

pour contempler son oeuvre, et là, il a vu une France en ruine, des Français sans un sou, sans espérance, sans avenir, sans fraternité. Et il a eu cette phrase historique, il a dit : « Je sais que je tiens le bon cap. » Alors, il est revenu à Paris en train, comme il l'avait promis !

Monsieur le Premier ministre, l'attitude de Manuel Valls, son arrogance, sa virulence sont insupportables et inadmissibles ! (Applaudissements sur les bancs du groupe UMP. Exclamations sur les bancs du groupe SRC.) Monsieur le ministre, nous vous demandons des résultats et de l'apaisement, pas de l'insulte ! Monsieur le Premier ministre, dan...

Monsieur le président, chers collègues, ma question s'adresse au ministre du travail. Je la pose au nom d'un collectif d'une trentaine d'ouvrières que j'ai rencontré samedi. Jusqu'au 31 juillet, chacune d'elles bénéficiait tous les mois de 180 euros grâce aux heures supplémentaires qu'elles effectuaient dans leur usine. (Applaudissements sur le...

Pourquoi ? Parce qu'au mois de juillet, vous avez détricoté le dispositif de défiscalisation des heures supplémentaires, simplement parce qu'il avait été mis en place par le gouvernement Fillon, sous l'impulsion de Nicolas Sarkozy. Voyez, monsieur le ministre, ces dames étaient en colère contre vous. Mais j'ai surtout senti dans leur propos un...