Interventions sur "bretagne"

75 interventions trouvées.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaYannick Favennec :

Les Ligériens sont d’abord préoccupés par l’emploi, la recherche, l’agroalimentaire, l’agriculture et c’est pour cela qu’ils sont 70 % à se tourner naturellement vers la Bretagne. Je défendrai tout à l’heure avec M. Piron un amendement en ce sens. Je dis à nos amis bretons, Mme Le Callennec, M. Benoit, M. Molac, M. Le Fur, qu’un tel rapprochement n’aurait aucune incidence sur l’identité bretonne, que nous savons forte, que nous respectons et que nous aimons. J’ai bien entendu la déclaration érotico-territoriale de mon ami Thierry Benoit, et je lui réponds que nous sommes...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaValérie Pecresse :

Néanmoins, la carte des députés socialistes pèche encore. Pourquoi le Centre reste-t-il tout seul ? Pourquoi les Pays de la Loire sont-ils seuls et la Loire-Atlantique hésitante entre la Bretagne et la Loire ? Pourquoi n’avez-vous pas osé marier les Pays de la Loire et le Centre ? Nous avons tous la réponse : ces dessins de régions sont uniquement politiques.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaYannick Favennec :

Elle va se retrouver dynamitée, dispersée, ventilée, bref condamnée à disparaître de la carte. La Mayenne et la Loire-Atlantique rejoindront-ils la Bretagne ? Et la Sarthe, le Maine-et-Loire, la Vendée, qu’en ferez-vous ? En réalité, vous allez tuer l’un des plus beaux exemples de réussite et de dynamique régionale de l’histoire de notre pays.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaÉric Straumann :

... reviendrai pas sur la question du référendum de 2013, notre collègue Alain Tourret l’a parfaitement synthétisée ce matin. Monsieur le ministre, je sais que le Gouvernement mise un peu sur l’esprit de discipline, voire la docilité des Alsaciens, mais une colère sourde est en train de monter dans cette région, qui refuse l’injustice. Ils n’accepteront pas que ce qui est accordé à la Corse et à la Bretagne soit refusé à l’Alsace.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaPhilippe Vigier :

Le droit d’option permettra à certains départements de rejoindre une autre région – M. de Rugy ne souhaite-t-il pas que la Loire-Atlantique rejoigne la Bretagne ?

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaJacques Myard :

...cquis de la Révolution, qui créa les départements et mit fin aux fiefs du Moyen-Âge ? La logique de votre projet, c’est le retour radical aux fiefs de l’Ancien régime, et ce que j’ai entendu parfois me conforte malheureusement dans cette opinion : ici, le duc d’Aquitaine, là, la baronne du Pas-de-Calais, le roi de Lotharingie ; au centre, la comtesse de Chambord, et n’oublions pas la duchesse de Bretagne.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaNathalie Appéré :

...ue des Lumières ne peut pas accepter qu’elles soient fondées sur l’exclusion – ceux qui en sont et ceux qui n’en sont pas, ceux dont on veut et ceux dont on ne veut pas. Les identités – le mot ne me gêne pas dans ce débat – sont multiples, dynamiques, se construisent et se renforcent au contact des autres. Elles précèdent et survivent d’ailleurs très largement aux territoires institutionnels. La Bretagne – pour ne pas la citer ! – n’est pas née avec le conseil régional élu au suffrage universel depuis 1986.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaGuillaume Larrivé :

Pour que vive notre République, il faut respecter l’histoire et la géographie. Une véritable réforme ne doit pas être bâtie sur du sable, mais doit être enracinée dans nos territoires. Une telle réforme, nous pouvons la construire ensemble. J’ai la conviction que la France sera plus forte demain si la Bourgogne, la Bretagne, la Savoie, l’Alsace, l’Auvergne, la Corse ou la Champagne sont elles aussi renforcées au coeur de la République.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaLaurent Furst :

...ement d’ordures ménagères est devenu particulièrement coûteux, parce que les décisions nationales ont renforcé les coûts de gestion de nos collectivités. Je tiens à le dire clairement : le mécano géographique ne réglera absolument pas le problème du coût de gestion de nos collectivités. J’aimerais vous livrer une réflexion. Il y a longtemps, j’ai eu la chance, la grande chance d’être étudiant en Bretagne, à l’École de la santé,…

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaDominique Le Mèner :

En l’état, ce redécoupage va d’ailleurs créer de nouvelles disparités, en témoignent les exemples emblématiques des Pays de la Loire et de la Bretagne, qui ne font l’objet d’aucune modification. Sur le fond, le postulat de départ, selon lequel la région serait l’échelon territorial d’administration locale le plus pertinent et le plus efficace, n’est nullement démontré, et il semble même que ce ne soit pas le cas, si l’on examine le train de vie de ces collectivités au cours des dernières années, ou la situation des autres régions européennes. ...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaLaurent Wauquiez :

...son carré de papier, qui se prononce souverainement sur le bien ou le mal qui doit lui arriver. » La conception de la République française selon laquelle c’est l’État qui a forgé la nation reposait sur l’idée que la République ne devait laisser aucune commune de côté, qu’il n’y avait pas de petites et de grandes communes dans les contreforts des vallées vosgiennes, pas plus qu’il n’y en avait en Bretagne ou en Auvergne, et que la République devait avoir la même attention pour chacune de ces communes. Rien n’est plus beau, dans l’histoire de la IIIe République, que le moment où toutes les communes de France se sont couvertes d’écoles. La République était partout, elle faisait preuve d’attention pour chacun de ses territoires et avait même une vigilance accrue pour la ruralité, la montagne et ses ...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaFrédéric Reiss :

Une enquête menée par la presse quotidienne régionale indique que 77 % des Français sont attachés à leur région et refusent leur disparition. Sans surprise, ce sentiment d’appartenance à une région est le plus fort en Bretagne et en Alsace,…