Ce sont les professionnels que nous avons réunis. J’admets que nous avons fait une erreur de communication, mais normalement, l’information a dû être reprise dans la presse. En tout cas, je tenais à faire état de ces conclusions positives. Je ne peux donc pas retenir votre argumentation, monsieur Saddier.
M. Tardy a fait part de ses inquiétudes sur les examens. En quatre mois, 5 000 candidats se sont présentés à celui de chauffeur de VTC. La moitié a été reçue. Nous y reviendrons au cours du débat. À celui de taxi, 20 000 candidats se sont présentés, et 5 000 à 6 000 cartes ont été remises. À ce sujet, monsieur Tardy, il n’y a pas lieu d’adopter une position restrictive. Vous nous intentez un procès d’intention inacceptable. J’y reviendrai.
J’ajoute qu’il n’y a pas lieu de mentionner les chambres de commerce. La moindre des choses, si l’on veut être rigoureux, est de se rappeler que les taxis et les VTC sont forcément adhérents aux chambres de métiers, les chambres de commerce n’ayant compétence que pour les entreprises de plus de onze salariés.