Nous pouvons comprendre l’impératif de pérennité, qui est partagé sur tous les bancs : nous sommes pour la plupart des élus de montagne, qui nous battons pour maintenir la pérennité des services publics. Mais nous avons tous aussi en tête des exemples de services qui ont été, dans un premier temps, pérennisés mais dont la qualité ne satisfait pas les populations : il s’agit souvent des prémices d’une disparition. C’est pourquoi nous avons couplé l’idée de pérennité avec celle de qualité.