Je suis heureux de l’accès médiatique que vous m’offrez dans La Dépêche du Midi : là, au moins, cela passe alors que dans les grands médias parisiens, même si vous ne le savez pas, monsieur le président, j’ai quelques problèmes. Il est vrai que je souffre beaucoup pour les journalistes qui y travaillent parce que ces médias sont détenus à 70 % par des fortunes étrangères – ou françaises et étrangères. Ce n’est pas facile, pour une grande démocratie comme la France, d’avoir à se les taper.
Voilà, j’ai terminé – pour l’instant.