D’autres députés avant moi se sont permis des hors-sujet. Je continuerai à interpeller M. le ministre.
Ces journalistes, Marie Kirschen et David Perrotin, vous ont contacté avant et après la parution. Étant patron de presse, vous connaissiez le délai de trois mois pour les attaquer en diffamation. Or vous avez choisi le silence. Face à ces informations qui dérangent, aucun innocent n’aurait choisi de se taire. Par votre silence, vous reconnaissez être l’auteur de violences graves commises sur votre collaboratrice, monsieur le ministre.