Il faut maintenir nos écoles chaque fois que c’est possible, en tenant compte des spécificités de nos territoires.
Je voudrais revenir sur la question des seuils. Pour ces écoles, il convient vraiment d’assouplir ces seuils, notamment ceux de fermeture. On sait très bien que le départ d’une famille de trois enfants peut faire passer sous le seuil en question et entraîner la fermeture d’une classe, qui n’ouvrira plus. Il est important d’analyser ce problème au cas par cas et, surtout, de maintenir nos écoles en territoires de montagne car, j’insiste, c’est la vie en leur sein qui en dépend.