Si je suis conscient que cet amendement ouvre un débat sur la mise en oeuvre de notre fameux principe de précaution, je pense qu’il faut que nous débattions de la question de la puissance d’émission des antennes qui permettent de desservir les différentes zones.
Naturellement, le relief crée des obstacles qui, compte tenu des faibles niveaux de puissance d’émission retenus par notre pays par rapport aux seuils européens, engendrent l’apparition de nombreuses zones blanches.
Je profite de l’occasion qui m’est donnée pour dire que lorsque nous avons tout à l’heure évoqué les zones blanches et les zones grises, il nous aurait fallu être conscients que la principale difficulté vient du lieu choisi pour évaluer si un territoire fait partie ou non d’une de ces zones.
En effet, très souvent, ce lieu est le centre-bourg qui est souvent entouré de vastes étendues dans lesquelles rien n’arrive.