Ce n’est pas moi qui ai dressé ce constat, mes chers collègues, ne vous énervez pas !
Vous affirmiez : « La justice est au bord de l’embolie : trop de travail, trop de lourdeurs, trop peu de moyens ». Tout au long de l’examen de ce texte, vous avez également souligné la nécessité de réformer le ministère de la justice. Vous l’avez encore fait à l’instant dans votre propos. Vous avez même évoqué une « justice en voie de clochardisation. » !