Je veux bien citer tous les chiffres, monsieur Ciotti. À bon droit, l’administration pénitentiaire vous tient à coeur, comme à tous ceux qui siègent sur l’ensemble de ces bancs. En 2012, lorsque vous avez perdu la majorité, le plafond d’emploi y était de 35 000 postes. Cette année, il s’établit à 40 000 postes. Nous avons créé 4 000 postes de plus que vous.