Nous sommes donc dans le cadre d’une politique de lutte contre les prédateurs dynamique, efficace et équilibrée. S’il est nécessaire d’aller plus loin, il faudra en reparler avec la ministre de l’écologie – je sais d’ailleurs que vous en discutez en permanence. Mais ces équilibres ne sauraient être remise en cause au détour d’un amendement à la loi montagne, d’autant, vous le savez bien, que ces questions s’inscrivent dans un environnement juridique européen.
Bref, le Gouvernement est très sensible aux arguments développés et très conscient du problème, qu’il s’agisse des loups dans les Alpes et les Pyrénées ou des ours dans les Pyrénées, madame Dubié. Néanmoins, il faut agir de manière rationnelle, réfléchie et raisonnée.