Les petits hôtels isolés des zones rurales sont ceux qui souffrent le plus, faute d’un marché dynamique, notamment pour une clientèle d’affaires, et parce qu’ils pâtissent du coût de la mise aux normes, comme le dit M. Accoyer. Il est nécessaire de mettre en place des dispositifs de soutien à la petite hôtellerie. C’est pourquoi je proposais que celle-ci puisse bénéficier du Fonds d’intervention pour les services, l’artisanat et le commerce, le FISAC.
Par ailleurs, je souhaiterais que les commerçants et artisans installés en milieu rural puissent développer, à titre secondaire, des activités de gîte rural, une possibilité ouverte aujourd’hui aux seuls agriculteurs.