Pour ma part, je suis très favorable à l’amendement des rapporteures. Je connais bien le sujet : lorsque j’étais ministre délégué chargé du tourisme – fonction que j’ai occupée dans une autre vie gouvernementale –, j’avais justement lancé un plan de rénovation de l’hôtellerie familiale, qui a pleinement réussi, grâce aux financements publics apportés par l’État. La remise aux normes est nécessaire dans de nombreuses structures de l’économie montagnarde. Cet amendement, qui vise à orienter le soutien de BPIFRANCE vers l’hôtellerie familiale, rurale et de montagne, est donc bon. J’y suis favorable, et de ce fait défavorable à votre amendement, monsieur le député Buisine, pardonnez-moi.