Vous vous agitez mais je suis bien obligée d’évoquer la réalité. Ce sujet, nous en avons parlé et nous l’avons évoqué notre rapport. Nous ne sommes pas opposées à ce que vous proposez mais il faut aussi entendre les inquiétudes d’un certain nombre d’acteurs de la montagne, dont nous avons besoin. Je ne crois pas que la loi montagne de 1985 ait été construite sans le monde agricole et je n’imagine pas que celle de 2016 se construise différemment : elle doit donc asseoir les partenaires autour de la table.