Je souhaiterais tout de même mettre en garde l’Assemblée et l’éclairer sur un certain nombre de points qui viennent d’être évoqués.
Premièrement, je ne peux souscrire au raisonnement qui consiste à dire que parce que le prix du pétrole est bas actuellement il faut en profiter – j’utilise ce mot à dessein, car je l’ai entendu – pour augmenter les prélèvements obligatoires. Ce n’est pas de bonne pratique. Chacun sait ici que le faible coût du pétrole a également eu un effet incitatif sur l’économie, sur les entreprises et les ménages, ainsi que, à certains égards, sur le budget de l’État…