Je note le caractère positif de l’avis de M. le secrétaire d’État, et j’espère que cet amendement sera voté.
J’aimerais aller un plus loin dans ce débat, notamment après le retrait de l’amendement de M. Baert. Ainsi que je l’ai dit tout à l’heure, et d’autres collègues sont intervenus dans le même sens, le sentiment général d’un certain nombre de communes aujourd’hui, c’est que ce sont les pauvres qui paient pour les plus pauvres.