Mon cabinet a ainsi reçu, à plusieurs reprises, le président Quevillon, que j’ai personnellement rencontré. Ma collègue, ministre des affaires sociales et de la santé, l’a fait aussi. Je ne parle pas que de M. Quevillon : bien évidemment, le directeur de l’ACOSS a été également reçu. Nous avons demandé à ces personnes, par courrier, de nous faire ensemble des propositions. Cela a été long et compliqué, mais ils ont fini par le faire. C’est ce qui a inspiré l’article qui vous est proposé. On ne peut donc pas dire qu’il n’y a pas eu de concertation. On n’a évidemment pas été consulter l’ensemble des personnels, mais concertation il y a eu, et prise de responsabilité, il y a, par cet article.
Monsieur Tian, libre à vous d’interpréter mes propos et, le cas échéant, de les exploiter. On connaît les règles de ce jeu. Mais je n’ai pas dit que tout allait bien : relisez le compte rendu, regardez la vidéo. J’ai dit que les choses allaient mieux. Je n’ignore pas qu’il y a encore des dysfonctionnements. Je ne voudrais pas que vous laissiez entendre que le ministre avait dit que tout allait bien et que l’on n’allait rien changer, ou que vous nous traitiez de fous, puisque, tout en disant que tout va bien, nous changeons tout.