Sur le terrain, ils n’en peuvent plus d’attendre des réponses aux problèmes auxquels ils sont confrontés, dont je rappelle tout de même qu’ils entraînent la fermeture d’entreprises tous les jours faute qu’ils aient pu obtenir des explications sur des trop-payés de cotisations ou sur des calculs qu’ils ne comprennent pas. L’amendement précédemment présenté par Mme Orliac, qui visait le champ national, a été rejeté. Celui-ci se rapproche des cotisants puisqu’il vise le champ local. À aucun moment vous ne voulez entendre, chers collègues de la majorité, le trouble que sème la réforme en raison de la façon dont elle est amenée, y compris lorsqu’il s’exprime dans des groupes proches du vôtre. C’est vraiment grave.