Monsieur Mariton, je vous ai laissé finir alors que votre intervention relevait d'un fait personnel qui aurait pu être renvoyé en fin de séance.
Secundo, j'ai déjà eu l'occasion de le dire et deux ou trois de nos collègues ont fait cette remarque hier, autant les présidents et vice-présidents peuvent assurer la surveillance des propos publics tenus au sein de l'hémicycle, mais si vous nous demandez en plus de contrôler tous les échanges sur les réseaux dont tweeter, cela va être compliqué…