Il ne s’agit pas de supprimer celles qui existent. Ce que nous voulons, simplement, avec ce changement de paradigme, c’est éviter que s’ouvrent, sur le territoire national, des écoles qui seraient contraires aux principes de la République – ces valeurs que vous défendez autant que moi. Il y a, aujourd’hui, environ 1 000 écoles hors contrat ; nous ne voulons pas que de nouvelles écoles hors contrat puissent ouvrir dans des conditions qui ne sont pas satisfaisantes. Il faut donc considérer cette mesure comme une mesure de sûreté, de prévention, dans le contexte que vous connaissez comme moi car il se constate aussi à Marseille.