Monsieur le ministre, l'ancien président du groupe d'amitié France-République démocratique du Congo que je suis s'inquiète également des événements survenus dans l'est du pays et attend avec intérêt votre réponse à la question de M. Christ.
D'autre part, au cours de la législature précédente, plusieurs d'entre nous ont beaucoup réfléchi à la part respective du bilatéral et du multilatéral, notamment en Afrique. Notre aide reste trop peu lisible, malgré les efforts accomplis au cours des deux dernières années et dont j'aimerais savoir si vous comptez les poursuivre. Le bilatéral est devenu la variable d'ajustement du multilatéral, de sorte que lorsque l'on a payé à ce dernier ce qu'on lui devait, il ne reste plus d'argent pour faire vivre correctement nos postes et valoriser l'action de la France sur le terrain. Qu'en pensez-vous ?