Je tiens à ce que l’État ait un pouvoir de contrôle, mais pas à ce qu’il dispose d’un pouvoir de gestion. D’ailleurs, si le représentant de l’État avait un siège à part entière au conseil d’administration, et non pas simplement un rôle d’observateur, il ne disposerait pas d’une majorité lui permettant d’influer dans un sens ou un autre.
Je souhaite que l’État soit présent, qu’il puisse exercer un contrôle et se faire communiquer toutes les pièces nécessaires pour vérifier que la PFR est mise en oeuvre ; je ne souhaite pas qu’il oriente la gestion, alors que, ne disposant que d’une voix, il ne sera pas en mesure de l’influencer.