Une nouvelle fois, je ne veux pas répondre à M. Bompard, qui a proposé tout à l’heure qu’on instaure une amende quand on éduque un enfant à la sexualité contre la volonté de ses parents.
Un jeune public vient de s’installer dans les tribunes. Je suis heureuse qu’il puisse venir voir comment se déroulent nos débats à l’Assemblée nationale, mais je les informe que celui-ci est très particulier. Une seule personne intervient. En parlant, elle tient des propos qui peuvent les heurter. Par respect pour ce public, je vous engage, monsieur Bompard, à faire attention à ce que vous dites.