Chers collègues de la majorité, vous êtes en plein paradoxe ! D’un côté, alors que vous prétendez défendre la liberté, vous voulez la réduire. De l’autre, vous infantilisez en permanence les citoyens, qui, selon vous, devraient vivre d’aides permanentes. Les enfants qui nous écoutent sont capables de discernement et de compréhension.