…majeures en matière financière, juridique et de développement, même si, je vous l’accorde, leur portée est restreinte à l’Île-de-France, et qui sont examinés, pardon de le dire, madame la ministre, un peu à la va-vite. J’espère que nous en connaîtrons les tenants et les aboutissants et qu’il n’y a pas trop de loups dans cette affaire.
Madame Mazetier a raison : si nous adoptons l’amendement du Gouvernement, nous ne pourrons plus débattre d’un problème qui est réel, même s’il avait déjà été traité dans les articles 32 et 33 de l’ordonnance du 23 juillet 2015.