Monsieur le rapporteur, je vous remercie et vous fais mes compliments pour la qualité de votre travail. Je sais que les Corses ne remercient pas tous les jours, et que lorsqu’ils le font c’est du fond du coeur : je suis donc très sensible à vos remerciements.
C’est la deuxième fois en quelques semaines que je vois, dans cet hémicycle, un texte adopté à l’unanimité. Vous comprendrez que j’y sois sensible.