Je souhaite associer à cet amendement mon collègue Philip Cordery, qui n’a pu le cosigner. Cet amendement a également reçu le soutien du groupe socialiste de l’Assemblée des Français de l’étranger. J’avais pris acte, lors du débat en commission des affaires culturelles, de la nécessité d’en reformuler le contenu. À cet égard, je veux vous remercier, monsieur le secrétaire d’état, ainsi que vos services, pour la qualité du dialogue que nous avons engagé.
En ce qui concerne la détection des talents des jeunes athlètes français vivant hors de France, il y a un point sur lequel on a évolué : le rôle de la Commission nationale du sport de haut niveau. C’est un sujet important – je me tourne vers notre collègue Rochebloine, qui parlait tout à l’heure de « diplomatie sportive », et notre collègue Huet qui, dans la discussion générale, s’inquiétait du fait que l’on perdait parfois des sportifs. Dans le cadre d’un mouvement inverse, on arrive, notamment grâce aux binationaux, à détecter des talents, des personnes qui ont envie de mettre leurs « dons artistiques », pour parler comme Sophie Dion, au service de la France.